Luc 23, 40
Mais l’autre lui fit de vifs reproches : « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi !
Mais l’autre lui fit de vifs reproches : « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi !
Jésus continue de se taire ; mais voici qu'il trouve tout à coup un
chaud défenseur. Ses meilleurs amis l'ont abandonné : si quelques-uns d'entre eux commencent à s'approcher
timidement du Golgotha, ils n'osent élever la voix en sa faveur ; le bon larron proteste contre la raillerie
prononcée en dernier lieu, et fait une belle apologie du Christ souffrant. Son allocution se compose de deux
parties, dont la première s'adresse à son compagnon, la seconde (v. 42) à Notre-Seigneur. - Toi non plus…
avec emphase. N'es-tu pas dans une situation particulière qui devrait te rendre plus réservé que les autres ? -
Condamné au même supplice (au même supplice que Jésus). Comme lui tu vas bientôt mourir ; il faut donc
penser aux jugements divins.