Luc 14, 27
Celui qui ne porte pas sa croix pour marcher à ma suite ne peut pas être mon disciple.
Celui qui ne porte pas sa croix pour marcher à ma suite ne peut pas être mon disciple.
Après avoir exigé de ses disciples le renoncement poussé jusqu'à ses dernières limites, un amour devant
lequel pâlit tout autre amour, Jésus leur indique, par une figure déjà bien forte, mais que sa mort
ignominieuse devait rendre plus expressive encore, la vie de rudes sacrifices, de souffrances perpétuelles, qui est dans l'essence du christianisme : Celui qui ne porte pas sa croix… Cfr. 9, 23, Matth. 10, 38 ; 16, 24.
Notez, dans la phrase ne peut être mon disciple, la place donnée par emphase au pronom possessif « mon ».
De même vv. 26 et 33.